Céramique

Art de fabriquer les poteries, fondé sur la propriété des argiles de donner, avec l’eau, une pâte plastique, facile à façonner, devenant dure, solide et inaltérable après cuisson.

Fines particules de terre réfractaires incorporées à la terre permettant une meilleure résistance aux chocs thermiques et de faciliter le séchage.

Céramique cuite à très haute température conférant à la sculpture une grand résistance, notamment du gel.

Procédé de cuisson à basse température des grès. (Inventés en 1580 à Kyoto, les poteries ainsi réalisées étaient destinées à la cérémonie du thé. Elles se caractérisent par des glaçures très plongeuses, épaisses et criblées de petites dépressions).

Technique de cuisson asiatique des grès du XVe siècle consistant à cuire la sculpture jusqu’à fusion de l’émail (1000° C) puis à l’extraire du four à haute température, provocant un grand choc thermique. La sculpture est alors « enfumée », recouverte de sciure de bois qui s’enflamme au contact de la pièce incandescente. Les fumées, en brûlant, vont révéler un craquelé particulier sur les parties émaillées.